Qui sommes nous ?

Nous sommes un collectif de passionné(e)s de film amateur. Notre expérience de 10 ans dans l’archive audiovisuelle, notre complémentarité de métiers et regards, notre mobilité, notre dense réseau de partenaires, notre goût pour la sensibilisation, la transmission, la formation, l’accueil et l’accompagnement des publics, sont nos atouts.


Les membres

Laura Cohen est archiviste audiovisuel de formation. Après plusieurs années en tant que responsable des archives militantes féministes et de leur distribution au Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, elle est aujourd’hui cheffe du département de la conservation et de la sauvegarde des archives film, photo et vidéo de l’Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense : les grands écarts ne lui font pas peur, du moment qu’elle contribue à la préservation et la diffusion de la mémoire visuelle collective.

Hélène Ballis commence à s’intéresser au cinéma documentaire au cours de ses études de géographie, cette discipline lui permettant de documenter ses recherches sous forme de films. Elle décide de poursuivre dans cette voie et se spécialise dans le montage et la production.

Marion Brun a intégré MIRA en tant que documentaliste en 2015 après des études de documentaliste et de gestion du patrimoine puis un passage comme prestataire pour l’INA Grand Est où elle s’est prise de passion pour les archives audiovisuelles. Elle y est principalement en charge de la gestion des fonds et de la vente d’images. 

Mevena Guillouzic-Gouret, formée à la gestion des patrimoines audiovisuels et numériques à l’INA, intègre la Cinémathèque de Bretagne en 2011. Après 5 ans en charge de la vente d’images, elle est désormais responsable de la valorisation des collections en ligne et des projets en langue bretonne.

Jacques Charrat collectionne, collectionne, collectionne… depuis le milieu des années 80. Un fou d’objets en relation avec le pré-cinéma, la photographie, le cinéma, la lumière, les Lumière. De plus, par déformation professionnelle, il classe, classe, classe…. Membre (très…) actif du Club Niépce-Lumière, il fait partie d’un réseau important de collectionneurs, tous aussi curieux les uns que les autres…

Marc Rougerie souhaitait, à la fin du XXème siècle, utiliser des images d’archives pour ses documentaires ; il a été confronté au vide de la mémoire filmique savoyarde. Pour pallier cette absence d’archives filmées, il a créé, avec quelques illuminé.e.s, une cinémathèque régionale. Quelques dossiers et réunions plus tard, pour convaincre du bien-fondé du projet, plusieurs documentaires font maintenant revivre la mémoire régionale.

Luigi Mistrulli est fondateur de Back2memories, société de numérisation de films argentiques située à Grenoble. Il a le souci de la qualité de la numérisation et propose un travail minutieux sur le film à ses clients. Considérant ce patrimoine filmique comme un héritage, soucieux de transmettre, précieux soutien pour Ofnibus, il suit le développement de l’association depuis ses origines. 

Les membres ambulants

Stéphanie Ange est studieuse et aime qu’on le remarque. Elle adore remplir les cases des appels à projets! Sa passion pour l’archive amateur n’a d’égal que son égo démesuré. Franche camarade, à l’écoute quand elle ne parle pas d’elle, elle adore les récits des anciens qui la bercent dans un monde qui était mieux avant, ou pas c’est selon. Très susceptible il vaut mieux ne pas trop la contrarier !

Pierre Bouchut maîtrise l’image dans toutes ses dimensions et comprend, paraît-il, mieux les machines que ses semblables. Si un magnétoscope, un fichier informatique ou un projecteur mal en point lui est présenté, aucun Homme, aucun Dieu, ni aucune force de la Nature ne sera assez puissant pour l’empêcher d’en prendre soin !

Margot Lestien est perfectionniste, soyez patients. Elle est respectueuse des déposants, des réalisateurs, de leurs images, de leurs histoires, des ratios d’images, des formats d’encodage, des procédures d’archivage… Elle préfère voir le côté négatif des choses en premier lieu, qui sait, peut-être que ça pourrait être un peu moins pire. Soyez en sûrs, si ça ne convient pas elle le dira !


Ofnibus n’a pas vocation à constituer une collection en son nom. Notre projet repose sur un fort partenariat avec les structures locales patrimoniales et archivistiques garantes de sa pérennité. Nous menons notre action dans le respect des normes archivistiques et collectons des informations dans le respect de la RGPD.

du 25 au 30 novembre 2024

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